Le coucher, tout un poème

Aujourd’hui, pour la seconde fois je me prête au jeu des jeudis éducation du  blog des WonderMômes!

J’ai eu envie de participer sur ce thème parce qu’il me parle et me renvoie à plusieurs de mes expériences de maman.

macaron-rdv-education

 

Je me considère du clan des chanceuses.

Mon fils en rentrant de la maternité s’est tout de suite bien adapté à la maison. Il a dormi dans notre chambre le 1er mois, dans son petit couffin bien douillet. Puis a regagné sa chambre à l’étage le jour de ces un mois. A partir de ce moment là, Mr a fait ses nuits sans soucis.

J’ai dû remonter le voir quelques fois au cours des six premiers mois mais rien de notable. Et puis un jour, il a commencé a se réveiller spontanément et très violemment en milieu de nuit. Nous avons pensé qu’il faisait ce qu’on appelle des terreurs nocturnes. Nous étions obligés de le réveiller complètement pour le remettre dans la réalité. A ce moment là notre objectif à été de trouver des parades pour l’empêcher de paniquer lorsqu’il se réveillait, de façon a ce qu’il puisse éventuellement se rendormir seul. Il n’avait à l’époque que la petite lumière renvoyée par son veille bébé, nous avons donc investi dans une vraie veilleuse nomade Pabobo qu’il traîne aux quatre coins du lit avec lui. D’ailleurs il l’a toujours et elle est restée un indispensable de son sommeil. Nous avons aussi acheté un petit écran qui se fixe sur les barreaux du lit, il se mettait en route automatiquement dès le réveil et projetait des images au plafond. Avec ces deux trouvailles, Just A a recommencé à faire des nuits normales. Il se réveillait toujours les premiers temps mais se rendormait seul, puis a fini par ne plus se réveiller du tout.

Avec le temps, les rituels ont changés. Lui qui avait besoin d’un spectacle sons et lumières, a maintenant besoin de calme pour passer de bonnes nuits. Sa chambre donnant sur une avenue, il est souvent réveillé vers 8h par les voitures qui s’impatientent au feu. Alors que chez sa grand-mère, au milieu de rien sans aucun bruit, il peut dormir jusqu’à 11h… C’est un peu rageant je vous le concède !

De la même façon, il n’a choisi que vers ses 20 mois un Oui-oui en peluche qu’il a auto proclamé doudou. Il ne le prend que pour aller au lit, au moment de la sieste et au moment du coucher, mais il est devenu nécessaire au fil du temps.

Et puis il y a les mots. Toujours les mêmes, ceux que je lui murmure chaque soir pour qu’il s’endorme en sachant combien je l’aime. Et les « Bonne nuit mon trésor. A demain mon chat. Tu vas faire un très gros dodo et pleins de beaux rêves cette nuit.» Répétés inlassablement, ils me rassurent autant que lui, je sais bien. Et enfin, le petit rituel de se raconter ce qu’on va faire le lendemain histoire de prendre des forces pendant la nuit et d’éviter les angoisses.

Voilà l’histoire de nos dodos, j’espère vous avoir donné des pistes si vous en avez besoin. Et n’hésitez pas à en explorer d’autres sur WonderMômes, c’est le thème du jour!

More about Wonderprimi