Avant, Just A faisait des cauchemars, mais ça c’était avant…

Pabobo, je connaissais la marque de nom, j’identifiais les produits phares tel le Barbapapa bien connu . Mais jusque là, pour moi, une veilleuse c’était une veilleuse quoi.

Et puis, à force de plaintes intempestives concernant les réveils nocturnes (intempestifs eux aussi) de mon fils, j’ai eu la chance que l’on m’offre une veilleuse de la marque Pabobo.

Nous avons donc adopté un pingouin. Avec un p’tit cœur même, puisque son nom de scène c’est le « Lumilove » !

Le fameux Barbapapa ayant déjà sauvé les nuits de plusieurs de mes copines blogueuses, j’ai immédiatement misé gros sur le manchot.

Bien que Just A avait déjà une veilleuse toute pourrite, ce qui change avec Pabobo :

C’est idéal pour accompagner les enfants partout, tout le temps. Chez les grands-parents, la nounou, ou partout où ils auront besoin de trouver le sommeil.

Pour les marmots mélomanes, il peut diffuser une petite mélodie pendant 15 minutes. Heureusement, ce n’est qu’une option, parce que Just A n’est pas vraiment un sensible de la berceuse.

11h d’autonomie, ouai mec ! Tout ça sans prise, sans piles, et sans pleurs. Il suffit simplement de le poser sur son socle pour le recharger. C’est de la magie.

Evidemment il ne chauffe pas… du coup, même sous les draps où dans les bras, c’est zéro danger pour l’enfant, esprit tranquillou pour les parents.

Notons que le Lumilove Penguin a reçu le label des Parents Testeurs Consobaby!

En gros, j’me fourrais le doigt dans l’œil, toutes les veilleuses ne sont pas forcément équivalentes.

La vraie bonne idée Pabobo, c’est de s’allumer tout seul dès qu’on retire le personnage de son socle et de se recharger au seul contact de ce dernier. On est pas enquiquinés par les prises, et les marche/arrêt oubliés.

Test plus que réussi évidemment, car même s’il arrive toujours à Just A de se réveiller la nuit, il se rendort seul sans problème.

Son pingouin le rassure et lui permet d’émerger tranquillement de son cauchemars avant de pouvoir retomber dans les bras de Morphée.

Du coup, je n’abandonnerais ce pingouin pour rien au monde !