Hier soir, tu as pleuré. Tu étais là, tout seul assis sur le canapé du salon. Je t’ai regardé et j’ai vu les larmes monter pour doucement mordre tes paupières. J’ai reposés les ballons sur la table et je suis venue m’asseoir à tes côtés. « Mon année de 8 ans elle était cool, je sais pas si j’ai envie d’avoir 9 ans. » Sans surprise aucune j’ai essuyé tes larmes et je t’ai serré très fort. Parce que je sais. Quelques années j’ai cherché, mais maintenant je sais. Je n’arriverais jamais je crois à cerner chaque recoin de ton caractère, tellement il est multiple, infiniment complexe et passionnant. Mais après 9...
9 belles années
